Résumé
Objectif
Population cible
Options
Résultats
Bénéfices, risques et coûts
Données probantes
Méthodes de validation
Professionnels cibles
DÉCLARATIONS SOMMAIRES
- 1La suspension vaginale par suture à divers ligaments pelviens était inférieure à la colposacropexie par voie abdominale (toutes voies d'abord confondues) avec treillis synthétique pour ce qui est des résultats cliniques suivants :
- •échec global objectif (moyenne);
- •échec apical objectif (moyenne).
- •
- 2La suspension vaginale par suture à divers ligaments pelviens était comparable à la colposacropexie par voie abdominale (toutes voies d'abord confondues) avec treillis synthétique pour ce qui est des résultats cliniques suivants :
- •échec antérieur objectif (moyenne);
- •échec postérieur objectif (moyenne);
- •sensation subjective d'un prolapsus génital récidivé (moyenne);
- •réopération pour un prolapsus génital récidivé (moyenne);
- •lésions vésicales et urétérales peropératoires (faible);
- •troubles mictionnels postopératoires (faible).
- •
- 3La suspension vaginale par suture à divers ligaments pelviens n’était pas associée au risque d'exposition du treillis comparativement à la colposacropexie abdominale (toutes voies d'abord confondues) avec treillis synthétique, qui est associée à un risque d'exposition du treillis de 2,7 % à 3,4 % (moyenne).
- 4La colposacropexie par voie abdominale ouverte était inférieure à la colposacropexie minimalement invasive (laparoscopique ou robotisée) pour ce qui est des résultats cliniques suivants :
- •échec global objectif (faible);
- •échec postérieur objectif (faible).
- •
- 5La colposacropexie par voie abdominale ouverte était comparable à la colposacropexie minimalement invasive (laparoscopique ou robotisée) pour ce qui est des résultats cliniques suivants :
- •échec objectif antérieur (faible);
- •sensation subjective d'un prolapsus génital récidivé (moyenne);
- •réopération pour un prolapsus génital récidivé (moyenne);
- •lésions vésicales peropératoires (moyenne);
- •réopération pour incontinence urinaire d'effort (faible);
- •exposition du treillis (moyenne).
- •
- 6Les diverses voies d'abord minimalement invasives de la colposacropexie (laparoscopique ou robotisée) se sont révélées comparables pour ce qui est des risques suivants :
- •sensation subjective d'un prolapsus génital récidivé (très faible);
- •lésions vésicales peropératoires (moyenne);
- •incontinence urinaire d'effort postopératoire (très faible);
- •exposition du treillis (moyenne).
- •
- 7Il n'y a pas suffisamment de données comparant l'incontinence urinaire par urgenturie et le risque de dysfonction mictionnelle après une colposacropexie par voie abdominale ouverte et minimalement invasive ni entre les différentes méthodes de colposacropexie minimalement invasive (très faible).
- 8La suspension aux ligaments utéro-sacrés et la sacrospinofixation se sont révélées comparables pour ce qui est des risques suivants :
- •taux d’échec objectif (global et par compartiment) (moyenne);
- •sensation subjective d'un prolapsus génital récidivé (moyenne);
- •réopération pour un prolapsus génital récidivé (moyenne);
- •lésions vésicales peropératoires (moyenne);
- •réopération pour incontinence urinaire d'effort (faible).
- •
- 9La suspension aux ligaments utéro-sacrés s'est révélée avoir un risque plus élevé comparativement à la sacrospinofixation pour ce qui est du risque suivant :
- •lésions urétérales peropératoires (moyenne).
- •
- 10L'hystérectomie avec suspension était comparable à l'hystéropexie (toutes voies d'abord confondues) pour ce qui est des résultats cliniques suivants :
- •échec global objectif (faible);
- •échec antérieur objectif (faible);
- •échec apical objectif (faible);
- •sensation subjective d'un prolapsus génital récidivé (faible);
- •réopération pour un prolapsus génital récidivé (faible);
- •troubles mictionnels (faible);
- •lésions vésicales et urétérales peropératoires (faible).
- •
- 11L'hystérectomie avec suspension s'est révélée inférieure à l'hystéropexie (toutes voies d'abord confondues) pour ce qui est du résultat clinique suivant :
- •échec postérieur objectif (faible).
- •
- 12L'hystérectomie avec colposacropexie s'est révélée avoir un risque supérieur comparativement à l'hystérosacropexie (par voie abdominale, laparoscopique ou robotisée) pour ce qui est du risque suivant :
- •exposition du treillis (faible).
- •
- 13L'hystérectomie vaginale avec suspension et l'hystéropexie par voie vaginale se sont montrées comparables pour ce qui est des risques suivants :
- •échec objectif (global et par compartiment) (faible);
- •réopération pour un prolapsus génital récidivé (très faible);
- •lésions urétérales peropératoires (très faible).
- •
- 14À court terme (1 an), la correction du prolapsus apical de stade avancé (stade 3 ou 4) au moyen de la suspension vaginale par suture à divers ligaments pelviens est comparable au colpocléisis pour ce qui est des résultats cliniques d’échec global objectif, de lésions peropératoires des voies urinaires et d'amélioration spécifique de la qualité de vie (très faible).
- 15La suspension aux ligaments utéro-sacrés s'est révélée avoir un risque plus faible comparativement à la sacrospinofixation pour ce qui est du risque suivant :
- •douleur aux fesses transitoire ou à court terme (faible).
- •
- 16Les données actuelles ne sont pas concluantes pour ce qui est des résultats cliniques relatifs à la douleur pelvienne persistante ou à la fonction sexuelle postopératoire, notamment la dyspareunie de novo, lorsque l'on compare la suspension apicale par voie vaginale par rapport à la voie abdominale, la suspension apicale minimalement invasive à la voie ouverte, les différentes méthodes de suspension apicale du dôme vaginal entre elles et l'hystérectomie avec suspension par rapport à l'hystéropexie (très faible).
RECOMMANDATIONS
- 1Il y a lieu d'informer les femmes souhaitant obtenir une correction chirurgicale pour un prolapsus apical que la suspension vaginale par suture, par comparaison à la colposacropexie par voie abdominale (toutes voies d'abord confondues), présente un risque accru d’échec objectif, mais un taux comparable pour ce qui est (1) de l’échec subjectif, (2) de la réopération pour un prolapsus génital récidivé et (3) des complications. Il importe donc de prendre ces risques en compte au regard du risque permanent d'exposition du treillis après une colposacropexie, complication qui peut exiger une réopération (conditionnelle, moyenne).
- 2Il est recommandé pour les chirurgiens dûment formés de privilégier la colposacropexie minimalement invasive par voie laparoscopique ou robotisée (si l’équipement chirurgical est disponible), plutôt que la colposacropexie par chirurgie ouverte, étant donné l'amélioration objective globale des résultats cliniques et l’équivalence des résultats cliniques subjectifs à court et à moyen terme (conditionnelle, faible).
- 3Il est possible d'offrir la suspension vaginale aux ligaments utéro-sacrés et la sacrospinofixation aux femmes ayant un prolapsus génital apical en fonction des préférences du chirurgien et de la patiente. Les deux méthodes semblent avoir des résultats cliniques objectifs et subjectifs comparables jusqu’à 5 ans post-intervention, à l'exception d'une augmentation du risque de lésion urétérale peropératoire dans le cas de la suspension aux ligaments utéro-sacrés et du risque de douleur aux fesses transitoire ou à court terme après une sacrospinofixation (forte, modérée).
- 4Il est possible d'offrir différentes voies d'abord et techniques d'hystéropexie comme solution de rechange à l'hystérectomie et à la suspension pour les femmes atteintes d'un prolapsus génital apical qui souhaitent préserver leur utérus; ces techniques et voies d'abord sont associées à des résultats cliniques objectifs et subjectifs comparables pour les 5 premières années post-intervention (conditionnelle, faible).
- 5En dépit du manque de données probantes comparatives, il y a lieu d'aborder le colpocléisis comme option thérapeutique avec les femmes qui ne souhaitent plus être sexuellement actives; il semble s'agir d'une intervention réussie pour laquelle on signale peu de complications (fortes, faibles).
- 6Il y a lieu d'informer les femmes qui se soumettent au traitement chirurgical du prolapsus apical symptomatique qu'il existe peu de données comparatives sur la douleur pelvienne et la fonction sexuelle postopératoires pour diverses interventions. Dans l'ensemble, le risque de douleur pelvienne postopératoire semble faible, et la fonction sexuelle semble s'améliorer chez les femmes sexuellement actives qui se soumettent au traitement chirurgical reconstructif du prolapsus génital apical (conditionnelle, très faible).
Mots clés
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- Guideline No. 413: Surgical Management of Apical Pelvic Organ Prolapse in WomenJournal of Obstetrics and Gynaecology Canada Vol. 43Issue 4